Nous pourrions travailler, en lien avec des complices (pressentis : management-gestion, géographie, mathématiques), à l'élaboration d'une cartographie des flux et des échanges au sein de l’université et entre ses différents pôles. Voici plusieurs pistes de travail qui demandent à être éprouvées sur le terrain :
* répertorier les échanges existants : savoirs, outils, entre individus, entre disciplines.
* consigner les échanges inhabituels dont nos ateliers et actions transdisciplinaires seront à l'origine (circulations d'images, de mots, de matériaux).
* observer, analyser et modéliser la circulation du Témoin (cf. ci-dessous) qui représentera ces échanges.
* mettre en place un système d’échange local au sein de l’université (ce dernier point étant conditionné par la participation de l'IEMN-IAE (Institut d’économie et de management de Nantes) encore à inventer).
* une représentation physique de la carte existera peut-être dans une des bibliothèques. Le but est de rendre visible le rôle de chacun dans le puzzle de l’université.
UN QUESTIONNAIRE
à envoyer hypothétiquement à l'ensemble de l'université - si nous trouvons des personnes (en éco ou géo) qui veulent bien nous aider à traiter efficacement les milliers de réponses hypothétiques !
qu'en pensez-vous ?
voilà la première ébauche du mail, que je suggérerais de soumettre d'abord à nos complices pour voir leurs réactions et contributions :
Bonjour,
L’équipe d’artistes INTERIM est invitée en résidence à l’Université de Nantes de janvier à avril 2012, dans le cadre de la célébration des 50 ans de l’Université. Notre présence s’achèvera le 5 avril par une cérémonie poétique et festive que nous voudrions inventer avec vous.
Notre intervention, intitulée LIBRE CIRCULATION, tournera autour d’un axe majeur : la question de l’échange. Entre autres, celle de l’échange mutuel, entre les différents champs de recherche ou d’activité au sein de l’université (y inclus celle des techniciens et agents de toute sorte), des valeurs matérielles ou spirituelles produites par chacun.
Un volet de cette intervention consiste à tenter, avec l’aide de nos complices en sciences économiques et en géographie, de cartographier les échanges existants au sein de l’université.
Pour les repérer, nous nous permettons de vous soumettre ce questionnaire en vous priant de nos accorder quelques minutes de votre temps précieux (traitement anonyme garanti).
1. Quel est votre métier ou fonction au sein de l’université ?
2. En quel(s) département(s) exercez-vous ?
3. Quelle place occupez-vous dans les hiérarchies (qui dépend de vous, de qui dépendez-vous) ?
4. Pensez-vous que votre domaine de recherche ou d’activité soit fondamental pour la compréhension ou pour l’amélioration de la vie ou de l’univers ?
5. Si oui, pourquoi ?
6. Est-ce que votre domaine de recherche ou d’activité dépend étroitement d’autres domaines ou se fonde sur eux ? Si oui, lesquels et pourquoi ?
7. Vous arrive-t-il de solliciter l’aide ou l’assistance technique de personnes ou d’outils issus d’autres domaines ? Si oui, lesquels et à quelle fin ?
8. Est-ce que des personnes dans d’autres domaines vous demandent de l’aide ?
9. Quelle est, dans le cadre de votre travail, votre question ou difficulté la plus brûlante qui reste irrésolue à ce jour ?
Merci !
j'ai toujours eu une dent contre les questionnaires /sondages.... mais au sein de l'université pourquoi pas c'est un de leurs outils je suppose.
dans ce cas je préfère les questions directes et j'ai plus de mal avec les questions poétiques
moi aussi je déteste répondre à des questionnaires, donc je ne suis pas très sûr de mon coup, je l'ai formulé pour voir ce que ça donne… et ce que vous en pensez.
Rencontre avec les geographes (Juin 2011)
UNE LETTRE POUR LES MANAGEMENT GESTION
Bonjour,
Comme nous avons achevé notre visite (très dense et néanmoins très partielle) de l'université de Nantes et entamons l'écriture du projet définitif pour notre intervention sur
le territoire de l'université (23 janvier – 5 avril 2012), nous revenons vers vous. En effet, nous avons été fortement enthousiasmés par les sujets d'étude qui sont les vôtres et que vous avez
évoqués lors de notre rencontre, le mardi 5 juin dernier : étude des échanges qui échappent au marché ; don, nouvelles solidarités, frontière entre don et consommation ;
problématique d'échanges sur une échelle micro.
Pour élaborer notre projet, tant dans son socle conceptuel que dans ses développements pratiques, nous avons choisi de nous concentrer sur la question des échanges et des
circulations au sein de l'université : échanges de savoirs, de biens, de travail, de compétences, de services, de valeurs, etc. Nous développons un projet collectif qui s'appuie sur la
circulation d'un témoin (le bâton utilisé dans la course relais) au sein de l'université, témoin qui symbolisera les échanges verticaux, horizontaux, transversaux entre les différents groupes et
usagers (enseignants-chercheurs, personnels administratifs et techniques, étudiants, etc.). Il sera important que ce témoin ait de la valeur (réelle et/ou symbolique) aux yeux des participants.
Partant de cet échange ritualisé, pensé comme une course lente, nous élaborons un ensemble d'ateliers, destinés aux usagers : photographies, ateliers d'écriture, cartographie des flux,
réalisation d'une fresque. Ces ateliers sont une manière de préparer la cérémonie d'anniversaire, qui aura lieu le 5 avril 2012. L'ensemble s'appelle LIBRE CIRCULATION.
Si nous vous décrivons ici succinctement notre projet encore en cours d'écriture, c'est parce que nous voulons vous proposer, si vous en êtes d'accord, une collaboration.
Nous mettons en place, à notre manière, une proposition artistique qui questionne ce qui s'échange au sein de l'université (les archéologues, par exemple, n'ont aucun outil
fabriqué spécifiquement pour leur discipline et empruntent à toutes les autres ; les géographes empruntent du savoir aux scientifiques, les sportifs sollicitent les médecins, etc.). Mais
cette proposition est à la fois symbolique est circonscrite dans le temps.
Sur quel socle réel s'appuie-t-elle ?
Peut-on instaurer un système d'échange local au sein de l'université ?
Si oui, pour échanger quoi, et comment ?
Un tel outil peut-il créer de nouvelles circulations, sur un mode nouveau, au sein de la communauté ?
Et, pour ce qui concerne Interim-équipe d'artistes :
Comment asseoir notre dynamique au sein de l'université ?
Peut-on collaborer en profondeur avec certains UFR, collaboration qui, partant des thématiques que nous nous proposons d'aborder, aboutirait à leur traitement dans l'enseignement et la recherche
mêmes ?
Nous vous faisons part aujourd'hui de cet ensemble de questions qui nous animent dans l'espoir que vous saurez, à votre manière et avec votre savoir, vous en emparer – et ce
d'autant que notre manière de concevoir notre intervention découle absolument de l'échanges que nous avons eu avec vous, le mardi 7 juin. La propositions que nous tentons de formuler ici,
nous la voulons la plus ouverte possible, aussi nous vous invitons à vous sentir libre de la nuancer, la contredire, la détourner.
Très cordialement,
Marie Bouts, pour interim-équipe d'artistes.
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Nous revenons vers vous aujourd'hui pour solliciter votre collaboration, si vous en êtes d'accord. Au fur et à mesure que nous avançons dans l'écriture du projet (prévue pour
fin juin), nous cernons un de nos champs d'action : observer les échanges existant au sein de l'université, les caractériser, évaluer ceux qui n'existent pas mais qui seraient viables, créer
un système qui les reconnaisse comme une pratique économique existante et qui les organise dans l'idée de les améliorer (dans l'idéal, les rendre « monnaie courante »). Si ce système
pouvait nous dépasser et survivre à notre passage, ce serait idéal.
Nous comptons également solliciter l'aide des géographes, notamment pour recenser et cartographier ces échanges.
Comme, lors de notre rencontre, nous avions déjà évoqué avec vous l'idée d'une collaboration plus étroite, peut-être même le débordement de nos propositions artistiques vers
des travaux pratiques que vous proposeriez aux étudiants, et comme notre projet se précise en ce sens, nous voulions savoir aujourd'hui dans quelle mesure vous seriez intéressés d'une part pour
une participation théorique à ce projet (nous aider de vos connaissances spécifiques), d'autre part pour un investissement pratique, peut-être en fabriquant avec nous ce système d'échange
local.
En espérant trouver auprès de vous un écho favorable à ces propositions qui nous animent,
Cordialement,
Till Roeskens et Marie Bouts, pour Interim-équipe d'artistes.
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Bonjour,
CONTACT AVEC UNE ENSEIGNANTE DE GEOGRAPHIE
> Bonjour,
> Excusez-moi du retard de ma réponse, les semaines sont particulièrement
> chargées dernièrement.
> Alors, concernant vos demandes, voici quelques éléments à développer :
> - Des étudiants de Licence 3 vont travailler sur les circulations et
> l'appropriation des lieux au sein du Campus. Ils présenteront leurs
> travaux le mardi 13 décembre, de 8h30 à 12h30. Ils seraient intéressés
> pour vous rencontrer à ce moment-là ou plus tard (date à définir).
> - L'un de nos collègues, encadre un travail avec les
> étudiants de Master sur les mobilités et l'Université. Vous pouvez le
> contacter de ma part.
> - Il nous est possible de développer un projet pédagogique avec des
> étudiants de L1 au second semestre (cours débutant fin janvier), mais je
> ne peux rien vous dire pour l'instant, car nous sommes deux enseignants à
> encadrer ce cours.
> - Par ailleurs, nous allons organiser un séminaire
> en décembre sur les mobilités et les sons, dans lequel la question des
> cartographies sensibles sera largement abordée.
> Nous avons également parlé avec Laurent Hennebois de la possibilité
> d'organiser une demi-journée sur l'art et la cartographie.
> Je vous tiens au courant si d'autres collègues se manifestent.
> A bientôt donc,
> N'hésitez pas à me joindre si besoin sur mon portable à partir de la
> semaine prochaine,
> Bien à vous,
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bonjour et merci !!
je vous réponds en premier lieu pour transférer votre message au reste de la bande… je vous appellerai prochainement, dès que j'aurai la tête un peu claire… peut-être qu'un(e) de mes collègues
appellera aussi, que ce soit en rapport avec les questions ci-dessous ou bien avec notre projet de cérémonie, pour laquelle nous avons entendu dire que vous proposez une mystérieuse "grande
séance" dont nous ignorons tout pour l'heure !? pouvez-vous déjà en dévoiler quelque chose par mail ?
je vais aussi contacter monsieur fritsch pour lui poser les mêmes questions que je vous ai posées, merci pour le contact !
premières questions concernant votre message :
- est-ce un hasard si les étudiants en L3 vont travailler sur ce thème, ou bien c'est en rapport avec notre venue ??
- nous sommes tous au loin en décembre mais serons tous là pour le lancement du projet la semaine du 23 janvier - est-il envisageable de caler une rencontre avec eux pour qu'ils nous présentent
leurs résultats à ce moment-là ?
- avez-vous connaissance de travaux plus anciens concernant le territoire de l'université et ses circulations ? peut-on trouver des choses en ligne ?
- pouvez-vous parler avec votre collègue, pour sonder la possibilité de proposer aux étudiants de L1 de travailler avec nous sur nos histoires d'échanges ? il faudra préciser nos idées par
téléphone je pense… en tout cas, côté management gestion, il y a des étudiants qui ont répondu présents pour créer un système d'échange local !
- quand devez-vous avoir fixé et clarifié ce que vous ferez avec les L1 au second semestre ?
- les autres enseignants "susceptibles de participer", c'est votre estimation ou bien c'est eux qui l'ont déclaré, ayant pris connaissance du projet ?? vous nous conseillez d'écrire à eux tous
?
enfin, à titre personnel, je pourrai contribuer activement à cette potentielle demi-journée art-cartographie, en parlant de mes propres expériences (+ visionnage possible de bouts de films) ainsi
que de celles d'autres artistes (infos sur mon travail : www.documentsdartistes.org/roeskens ). je serai à nantes du 23
janvier au 5 février et du 25 mars au 5 avril.
cordialement,
till roeskens au nom d'interim
CONTACT AVEC UN AUTRE ENSEIGNANT EN GEOGRAPHIE
CONTACT AVEC LES ETUDIANTES DU SEL
bonjour,
j'ai l'honneur de vous écrire de la part d'interim-équipe d'artistes ( www.interim-artistes.info )…
comme vous le savez suite à votre rencontre avec mon camarade julien, nous sommes invités par l'université pour fêter ses 50 ans avec vous… notre projet s'intitule "libre circulation" et tourne
autour de la notion d'échanges… et dans ce cadre nous nous étions dit que la mise en place d'un système d'échange local aurait toute sa place et pourrait nous aider à observer des échanges autant
qu'à en initier nous-mêmes…
je suis donc la personne déléguée actuellement pour m'occuper de cette histoire.
une chose que je n'ai pas bien compris :
d'abord votre enseignante nous a parlé de vous en disant, grosso modo : "ça y est j'ai enfin trouvé des étudiantes que ce projet intéresse et qui veulent bien s'y impliquer", ça sonnait comme si
vous répondiez à sa (notre) proposition.
mais ensuite julien dans son compte-rendu nous dit : le projet de SEL préexistait à notre projet, c'est indépendant : c'est un réseau d'échange de SAVOIRS et de COMPETENCES entre étudiants (donc
pas pour les "adultes")…
alors, pouvez-vous nous expliquer un peu l'origine de votre projet et son avancement actuel, ses échéances prévues ?
pourquoi est-ce restreint aux savoirs et compétences, alors que d'habitude un sel permet également d'échanger des objets et du temps général (non compétent), genre trois kilos de prunes de mon
prunier, cinq heures de promenade avec ton chien… c'est pas dommage d'exclure tout ça ?
et pourquoi serait-ce restreint aux étudiants et n'inclurait pas les professeurs et autres catégories professionnelles de l'université aussi ? il y a une raison spéciale ?
(il faut savoir que les échanges en travers des hiérarchies nous intéressent particulièrement… savoir ce qu'un doyen pourrait échanger avec le gars qui installe ses prises électriques ou vide ses
poubelles… c'est peut-être fort utopique de notre part, d'imaginer qu'ils pourraient spontanément initier des échanges entre eux ?)
ensuite, nous, que viendrons-nous faire là-dedans ? c'est à inventer. les deux pistes les plus évidentes à mes yeux :
- proposer des biens ou services inhabituels à échanger / utiliser ceci comme moyen de rencontrer du monde à l'université
- tenter de cartographier, sans doute avec la complicité d'étudiants en géo, tout ce qui s'échangera pendant les 3 mois de notre présence (fin janvier - début avril).
est-ce que cette dernière idée vous semble jouable ? même si nous garantissons un traitement anonyme des données, ça demande sans doute que tous ceux qui prennent part au réseau rendent leurs
échanges semi-publics ? trouverons-nous une façon de gagner leur confiance sans freiner par là le démarrage du projet ? je l'espère.
ensuite, juste pour en garder trace et avoir une base commune, la suite du résumé que nous a fait julien :
"on a dit que c'était bien que le témoin passe par chez elles, notamment pour le lancement, on a dit qu'on couplerait les moments de présentation de lancement : le 25 JANVIER dans la sale du pole
étudiant, qu'on présenterai nos trucs et elles le leur et que ça ferait comme si on se troquait nos publics respectifs. Lancement interim = lancement sel."
super !
"laurent hennebois a ensuite parlé de faire des tableaux en bois pour montrer le SEL dans le pole étudiant, j'ai rien compris mais de toute façon il parlait aux filles"
vous avez compris, vous ?
"en tout cas, y a un problème de formes pour elles"
vrai ?
"Un site web est prévu aussi pour gérer la "monaie virtuelle" 1 point = 1 heure. Elles doivent contacter des étudiants en droit et des étudiant en informatique pour leur projet, elles seront
notées sur ce travail qui dépasse largement le cadre de notre projet. Elles ont dit vouloir "éviter l'argent pour être crédible/cohérentes" et vouloir "utiliser la curiosité" des
étudiants."
correct ? quelque chose à ajouter ?
merci à vous
cordialement, till roeskens
p.s. petite présentation personnelle : outre ma participation personnelle mais sporadique au sel de marseille, je me suis passionné un jour pour les mystères de l'argent en général et les
théories de "monnaie fondante" en particulier et j'ai fait une conférence à ce sujet, que vous pouvez voir en ligne…
http://www.documentsdartistes.org/artistes/roeskens/repro6-8.html
http://www.khiasma.net/avoir.php?id_article=442&id_group=124
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Bonjour,
Nous avions imaginé un SEL pour les étudiants des différents UFR de
l'Université de Nantes. Pourquoi uniquement entre étudiants ?Car il nous
semble pour l'instant trop ambitieux de lancer ce système à tout le public
universitaire. Notre idée de base était de mesurer la faisabilité de ce
projet, et si possibilité, de le lancer.
Sur le campus universitaire, sont réunis de nombreux savoirs et
connaissances qui ne nous paraissent pas assez partagés d'où notre projet
initial.
Nous avons peur par manque de temps de ne pas pouvoir introduire les
échanges de biens pour cette année de lancement.(cependant nous allons
étudier l'idée.) Nous avons également dans l'idée que ce projet se
pérennise et qu'il se développe les années suivantes.
L'avancée du projet dépendant de notre charge de travail, nous craignons
de ne pas pouvoir garantir le lancement du projet le 25 janvier avec vous.
Concernant les tableaux de bois : nous souhaitons laisser une trace
physique et pas que virtuel (site internet). Cette trace physique sera un
point de rencontre où chacun pourra y proposer/demander ce qu'il a à
offrir/recherche.
Cela permettra également de cartographier les différents échanges effectués.
Si vous êtes disponibles, nous souhaiterions vous rencontrer ou organiser
une rencontre virtuelle via SKYPE pour pouvoir communiquer plus
facilement.
Cordialement,
JOSEPH Lucie
GADE Marie
DUPISSON Perrine
VERGER Chloé
BOUCHET Lucile
DOUTES
J'ai des doutes sur les possibilités de créer un système d'échange réel qui fonctionne. Par contre, j'ai l'impression qu'il existe une tonne de choses qui ont de la valeur mais pas de valeur monétaire ou marchande : l'exemple le plus simple : l'air. Il y en a plein d'autre, qu'on pourrait lister et représenter pour le cas de l'université (ça rejoint la notion des nouveaux indices de richesse qui ne comptent pas seulement le PIB mais aussi par exemple, le taux d'alphabétisation) un peu comme essayer de rendre visible la valeur invisible. (interim:4 : 3 mois de libre circulation de valeur invisible :) )
Note : pour le système d'échange local : je suis partie sur une ouverture complète. je veux absolument attendre le retour des management gestion avant de lancer quoi que ce soit. ça m'intéresse de voir ce qu'ils en pensent avec leurs outils à eux. si le système d'échange local n'est pas tenable, je n'exclus pas du tout d'en tenter un idéal/imaginaire (toujours au sein de la fac) avec eux et la géo (et qui voudra). ce serait alors plus une sorte d'utopie, une carte, une représentation, qui pourrait être réalisabe si les humains concernés se mobilisent pour. vous voyez ce que je veux dire ? c'est pour ça que j'ai pas encore soumis ni le questionnaire (que je trouve très bien) ni rien d'autre : je trouve que c'est absolument nécessaire que les iea iamen répondent avec leurs outils de pensée, d'analyse, etc. avec leur pratique du monde.
ça me fait penser au site de la balsamine ( http://www.balsamine.be/) qui est chouette
Je me suis amusée à mettre à plat ce que j'ai retenu de nos échanges. Une première cartographie...
un mental mapping
l'espace social de bourdieu est un peu beaucoup caricatural,
J'adore le whisky et mon frère ingénieur est un pro-socialiste!
ma future copine habite sur son voilier et j'en connais un paquet de "coco" qui font du cheval à fond